L’Univers était-il nerveux quand il a donné vie aux plantes ?

Tâches, nervures, ex-croissances de l’encre de Chine au contact de la feuille.

Ces créations mettent en parallèles la plasticité du geste de l’artiste et de la plante. Au fur et à mesure que mes gestes s’émancipaient de leur profond conditionnement et qu’ils échappaient à la mécanique routinière, de nouvelles formes de plantes se manifestaient sur la feuille de papier, poussant de part et d’autres du miroir de l’Univers.

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Le Corps-Paysage

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L'Alchimie des plantes